CreativeFab 2015-2016
1 Septembre 2015 - 31 Mars 2016
Creative Fab 2015 : Haute Ecole Francisco Ferrer
Workshop avec une dizaine d'étudiants en troisième année de la Haute Ecole Francisco Ferrer venus les 1, 2, 8, 9 octobre 2015, supervisée par leur professeur Luc Petitot. A l’aide des imprimantes 3D, la découpeuse laser et la fraiseuse numérique les étudiants ont pu réaliser des projets dans la thème urbain tels que: un zepplin, une bouche d’égout et une cabine téléphonique anglaise avec l’imprimante 3D.
L'idée du projet était de créer un objet en 3D dans un thème urbain.
J'ai choisi une moto comme objet car je voulais me lancer un petit défi de compétences avec un objet bien complexe.
Réalisation d’un objet « Urbain »
Une bouche d’égout et sa tuyauterie, réalisée en 3D grâce au programme Maya et imprimé avec la technologie d’impression 3D, série Mendel, rajouter des éléments découpés au laser et réalisation d’autres éléments avec la machine a extrudé.
Dans l'optique du cours de 3D, il nous a été demandé de modéliser des objets prêts pour l'impression 3D.
Le thème commun qui nous a été proposé était l'urbain, ce qui nous à laisser de nombreux choix à disposition.
J'ai choisi pour ma part la cabine téléphonique anglaise.
Une fois la modélisation terminée dans Maya, il fallut l'importer dans le software Cura en format STL pour le préparer à l'impression. Une fois importé, j'ai du adapter la taille afin qu'elle soit adaptée à l'imprimante choisie. Cependant, le temps de réalisation était bien trop élevé. Ainsi, j'ai dû baisser le facteur de densité ainsi que l'épaisseur de l'objet. La cabine était une forme rectangulaire, j'ai décidé de ne pas utiliser de supports pour mon premier essai, avec l'espoir que la fondation de la cabine suffirait. J'ai également séparé le toit du reste pour l'imprimer à part et l'assembler par la suite.
Lors du cours de 3D, nous étions amené à modéliser un objet sur Maya, dans l’optique de l’imprimer aux moyens des imprimantes du FabLab d’Imal, à Bruxelles.
Notre création devait se fondre dans un thème commun à toute la classe : l’urbain. Sujet à de nombreuses interprétations, des objets plus différents les uns que les autres ont été modélisés.
Personnellement, j’ai choisi de me pencher sur une charrette à chevaux.
La construction de mon modèle s’est entièrement réalisé sur le software d’Autodesk, Maya (2015- 16). Il m’a bien sûr été nécessaire de faire des recherches sur le net pour avoir une idée concrète de comment sont construits ces charrettes.
Une fois la modélisation terminée, il nous était demandé « d’uploadez » notre fichier en .stl sur le site i.materialised, afin de savoir s’il était imprimable en 3D.
En arrivant a Imal, j’ai vite réalisé que ma charrette n’allait pas s’imprimer toute seule : il ne suffit pas de lancer le fichier et d’appuyer sur un bouton. Un modèle 3D imprimé est une construction conséquente (selon la difficulté du sujet évidemment). Il m’a donc été obligé de séparer mon objet en plusieurs parties afin de pouvoir lui donner vie. De faite, j’ai pu utiliser plusieurs techniques et imprimantes 3D.
Tous d’abord, j’ai créé les roues grâce à l’Ultimaker et au programme Cura, qui permet de visualiser notre sujet avant impression (en l’important en .stl) et de changer sa taille, rotation et d’autres paramètres propres à l’impression. La matière utilisée est une bobine « d’ABS », chauffée et fondue a environ 210°. Au contraire de la machine Mendel qui utilise du « PLA ». Après un premier essai raté car mal réglé (la taille était trop fine, de faite l’objet n’était pas fini). J’ai également utilisé l’Ultimaker pour créer la base de mon chariot, celle sur laquelle repose le système qui permet d’attacher les roues.
Ensuite, je me suis penché sur la machine dite « laser » grâce à laquelle nous pouvons découper des formes très précises sur différentes matières (nous utilisions des plaques de bois fines de 3mm). Avec cette dernière, j’ai coupé les 4 faces de mon chariot. Ce procédé est beaucoup plus fiable que les imprimantes 3D de par sa précision, pour autant que l’on souhaite avoir des formes droites et plates.
Enfin, une fois assemblé au moyen de colle à bois, il ne me suffisait plus que d’attacher les roues au reste du chariot.
En conclusion, l’impression 3D n’est pas du tout comme je me l’imaginais avant de visiter les labs d’Imal. Il y a également plusieurs machines différentes et de niveaux différents. De nombreux objets sont réalisables selon l’imagination du créateur et les compétences des machines. Il faut cependant veiller aux paramètres tels que la taille et la matière de la machine.
I began by creating the object in 3D on Maya. Once fact he(it) has me is enough of thrown(launched) the impression(printing) and to have a suitable result(profit) of it, there are some cracks here and there but nothing disturbing.
After this test I try the laser.
Once fact he has me is enough of thrown the laser printing and of collected the result. The first impression was made a success BUT a problem of size of certain elements made me begin again. Once all the parts correctly printed I was then able to stick everything and to finish the work.
Pour commencer nous devions selectionné un objet qui serai notre vision du monde urbain.
Pour cela j’ai fait un mindmap de toutes les idées d’objet que j’ai pu avoir, celle qui a retenue mon attention c’est l’idée du street art, un mélange d’art et d’urbanisme.
Le street art étant souvent pratiquer à la bonbonne de peinture, j’ai decide que mon objet serait une bonbonne.
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